“ Quand le concept de la foi lui-même est menacé ou court un risque, comme durant la période de l’apartheid en Afrique du Sud, la différence entre les doctrines religieuses devient une chose sans importance ”, comme le dit Ebrahim Rasool, l’ambassadeur des Etats-Unis en Afriquen durant un Symposium sur la libreté de la religion et des droits des Minorités dans l’Islam à l’Université de Georgetown un 14 Mai.
Lorsque les autres boursés et les universitaires étaient à cet événement, co-sponsorisé par Alwaleed Bin Talal, un centre Musulman-Chrétien pour la compréhension des la société Islamique dans le Nord de l’Amérique, plus précisemment à Georgetown. A cette occasion, Rasool, un adepte de l’Islam appartenant à une majorité non-Musulmane, offre un crontrepoint.
En Afrique du Sud, les Musulmans étaient moins de trois pour cent des habitants, et ont toujours vu leurs droits religieux leur être refusés. Toujours selon Rasool, respecter les traditions du mariage Islamique n’a pas toujours été un fait admis jusqu’en 1990.
“ Nous nous sommes établis en Afrique du Sud sans avoir une cuillère en argent dans la bouche ”, disait-il. Effectivement, cette communauté de moins d’un million de personnes réussit néanmoins à créer des “ guerriers anti-apartheid qui sont allés en prison avec Nelson Mandela ” et a depuis obtenu une représentation considérable dans le gouvernement. Comment ?
Rasool parle des principes Islamiques de Al-Amin, ou la fiabilité, comme un facteur. (Al-Amin, Le fiable, était le surnom que l’on donnait au Prophète Mahomet).
“ Le manque de confiance a toujours été oté des messages” selon lui. “ Les musulmans ont gagné cette fiabilité car ils étaient prêts à mourir avec la majorité, d’endurer les durs moments avec tout le monde”.
Les cultes pour les différentes fois durant l’époque de l’apartheid etaient considérés comme des “ endroits à haut risque” toujours selon lui. La police était toujours dehors, à tirer du gaz lacrymogène, vu les rassemblement et regroupement de personnent étaient mal vus pour le système de gouvernement en place.
Dans ces circonstances, “ votre interprétation des écritures doit être placée en second lieu afin de préserver la foi elle-même, car tout est assiégé ” d’après les récits de Rasool. “ Ce qui vous lie est le sentiment commun que vous devez faire face à un grand danger ensemble ”.
L’Afrique du Sud était moins divisée par les différences religieuses que par l’apartheid, selon ses récits. Toutefois, il y avait des gens de toutes les religions qui avaient des difficultés pour suivre l’Aquaba, le chemin venant vers la justice, (décrit dans le Surat al-Balad, la dix-neuvième Sura du Coran) qui les conduit vers la voie de la protestation de l’apartheid.
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