(Reuters) – Le gouvernement du Mali et les deux groupes rebelles qui ont pris le contrôle de la moitié nord du pays en avril, se sont mis d’accord pour la première fois et ont consenti à négocier une fin à la crise, selon un ministre médiateur du Burkina Faso mardi.
La partie du Nord du Mali a été pris par le groupe Islamiste Ansar Dîne qui est en relation avec al Qaeda et le MNLA (le Mouvement national pour la Libération d’Azawad), après un coup d’État à Bamako en mars de cette année. Le MNLA exige de l’indépendance à la patrie du nord de Tuareg, qu’il appelle ‘Azawad’. Ils arrêteront de se battre une fois que ceci est réalisé et le début protégeant les gens(le peuple).
Ansar Dine voudrait appliquer la loi du Sharia dans tout le pays plutôt que se battre pour l’indépendance. En raison d’un écroulement dans leur alliance plus tard, les Islamistes avec un autre groupe appelé ‘Mujao’ contrôlent les parties majeures de la région. Ils ont détruit des lieux saints dans Timbuktu et ont imposé une version stricte de la loi Islamique. Il y a eu de l’atrocité à un niveau international sur la situation au Mali du Nord.
Les leaders mondiaux avaient demandé aux nations africaines de préparer une force pour traiter avec les rebelles et ont aussi donner aux rebelles, dont l’alliance s’affaiblissait progressivement, une chance de se présenter pour des pourparlers. Parmi les partisans Occidentaux, la France a été la plus présente possible auprès des troupes africaines pour reprendre le nord du Mali. Sept ressortissants français sont retenus en otage dans la région de désert.
Les représentants gouvernementaux du Mali ont réussi à convaincre ces groupes rebelles à une réunion pour discuter de leurs problèmes et leur demander de mettre la fin à l’injustice. Les groupes ont promis de respecter l’unité nationale et le rejet du terrorisme ; mais les Islamistes doivent toujours prouver qu’ils ont coupé les liens avec al Qaeda.
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